Impulsions met en scène un groupe de trois personnages automatisés qui se sent agressé par le visiteur qui l'approche.
L'attaque étant la meilleure des défenses, les fétiches s'animent et pointent leurs outils vers l'intrus, ou avancent vers lui d'un air menaçant.
Nous souhaitons ainsi mettre en évidence qu'il n'existe pas de degré zéro de la domination : bien que le visiteur n'ait aucune intention hostile, le déséquilibre des forces entre le géant et le nain rend ce dernier inévitablement méfiant.
Impulse features a group of three characters automated which feel assaulted by the visitor who approaches.
Attack being the best way of defense, fetishes come alive and point their tools to the intruder, or move towards him threatening.
We therefore wish to highlight that there is no degree zero in domination : though the visitor has no hostile intent, the imbalance of power between the giant and the dwarf inevitably makes it suspicious.
